Maisons de vacances à louer Pointe à Pitre
Voici nos multiples offres de location de maisons et villas de vacances à Pointe à Pitre en Guadeloupe dans les DOM à découvrir. Nous sélectionnons chaque maison à louer afin de vous proposer des biens qui répondent à notre charte de qualité. My home in Guadeloupe vous propose de découvrir également des maisons à la location sur Grande Terre mais aussi sur Saint François.
Nos locations de maisons à Pointe à Pitre pour les vacances
Une légende locale raconte que le nom de la capitale serait lié à l’histoire d’un certain Peter. Ce pêcheur hollandais, débarqué avec les colons venus du Brésil au milieu du XVIIe siècle, se serait installé sur une pointe de la rade. Les gens auraient alors pris l’habitude d’appeler l’endroit “la pointe de Peter”. La légende ne raconte pas si Peter était de surcroît un pitre, mais le temps a fini par déformer le nom de la ville devenue la capitale de la Guadeloupe. Son rayonnement sur toute la Guadeloupe a été gagné à force de détermination et de constance. En effet, dès 1780, un gigantesque incendie marque le début d’une série de catastrophes naturelles, qui met à mal l’aura de “la Pointe” comme les locaux la nomment affectueusement. Les tremblements de terre se succèdent, suivis d’un ouragan et d’une épidémie de choléra qui dura deux ans. Malgré les épreuves, Pointe-à-Pitre est toujours debout et en a profité au passage pour voler la vedette à la ville de Basse-Terre qui briguait aussi la palme de la capitale. Comme vous vous en doutez, le centre ville historique conserve une trace de tous ces épisodes, ainsi que de ceux relatifs à l’esclavage. Au XVIIe siècle, le succès de la culture de la canne à sucre a très rapidement nécessité une main d’oeuvre de plus en plus conséquente. Le système esclavagiste qui s’impose en Guadeloupe s’inspire des modèles instaurés au Brésil et dans les autres possessions européennes des Caraïbes. Les cultures du coton et du café sont également gourmandes en esclaves. Il a fallu attendre le 27 mai 1848 pour que soit proclamée son abolition. Ce vent de liberté n’a bien entendu ralenti en rien la prospérité économique. Les travailleurs indiens et africains étaient dorénavant libres, avec un contrat de travail qui leur garantissait de quoi subsister, même modestement. Toute cette incroyable histoire est retracée avec exactitude au Mémorial ACTe à l’aide de documents et de témoignages saisissants. My home in vous propose également une sélection de maisons situées sur les coteaux verdoyants de la région de Basse-Terre
